L’Europe, un espoir pour demain ?
Est-ce du ciel bleu pour nous ? Ou juste une
illusion ?
On parle en France de réduire le millefeuille
administratif: de la commune à la région en passant par le syndicat de commune
et le département, il y a trop de beurre dans le millefeuille.
Nos enfants seront-ils européens avant d’être
français ?
Pourquoi pas, finalement.
« Think global, act local », tel est le
crédo aujourd’hui.
L’Europe pourrait être notre « global »
de demain et la France notre « local ». Ou bien déjà l’Europe
est-elle déjà notre local, dans ce cas dans quelle case met-on le
Starbucks ?
Nous n’avons pas croisé de Strabucks à Bruxelles.
Ils ont déjà colonisé Paris et quadrillé Tokyo. Epargner Bruxelles me semble un honnête tribu à la mondialisation.
En revanche, on trouve des « Exki » à
tout les coins de rue, normal c’est du local et c’est du bon, du frais, du bio,
et pas très cher. L’alternative locale aux frites vendues au coin de la rue, où
même « traditionnelles à la graisse de bœuf » j’ai du mal à croire
que les pommes de terre aient été épluchées le matin.
Pour information, il y en a un à Montparnasse, pas
loin du Starbucks d’ailleurs.
C’est ça l’Europe : Exki côtoie le Starbucks à
Paris.
Et que dire de ces femmes voilées, de la tête au
pied, en noir, s’il vous plait ? C’est local ou global ?
Je suis perturbée par le phénomène à Bruxelles,
elles sont bien plus nombreuses que chez nous, bien plus voyantes aussi.
Tout ce noir ça se voit sur fond de drapeaux
bleus, les 27 pour ne rien oublier et quand Belga com s’y met aussi, on en sait plus
où donner de la tête.
Deuxième jour de lecture, j’attaque un polar
emprunté à la Médiathèque de Gentilly (où razzia a été faite en plus du Furet
du Nord). Je vous épargnerai, et le titre et l’auteur, j’ai tout oublié. L’histoire
était longuette, sans intérêt et prévisible, bien écrit cependant.
C’est la littérature
en pente douce ou la mondialisation en pente douce (il était traduit du
Starbucks)?
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